J’ai déjà parlé des aléas de la ménopause qui m’en font voir de toutes les couleurs depuis plusieurs mois. Je le sais, mais bon, que voulez-vous, c’est ma réalité et j’ai grand besoin de ventiler. Car il y en a un, aléa, que je n’avais pas encore mentionné et qui m’est pour ainsi dire sauté dans la face hier soir : la prise de poids. Vous me direz que ça ne paraît pas trop, que c’est normal et que ça ne fait pas mal (comme Clémence l’a si bien chanté dans le bon vieux temps), mais quand même, je ne peux pas dire que ça me fait plaisir de me voir ainsi rondir.
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Bon, vous le savez, la ménopause, elle m’en fait arracher depuis quelques mois déjà, avec tous ses aléas bien documentés. Or, depuis quelques jours, des phénomènes nouveaux et beaucoup moins publicisés sont apparus dans ma vie de grand-maman confinée depuis une éternité. Le dernier en lice : une irrésistible envie de tarte au sucre. J’en ai rêvé éveillée pendant trois nuits, c’est vous dire. Et c’est d’autant plus étonnant pour moi, car :
Continuer la lecture de « La ménopause et ses effets collatéraux »La vache m’est montée sur le dos
Les aléas de la ménopause, j’en ai déjà parlé, je le sais. Mais que voulez-vous, c’est mon actualité. Et même bien informée, j’en découvre tous les jours. Et je vous le dis, il faut avoir un moral d’acier pour continuer à donner le change quand tant le corps que les émotions ont des ratées.
Continuer la lecture de « La vache m’est montée sur le dos »Y a toujours ben un bout à se laisser empissetter!
Les aléas, je vous le dis, ont parfois des avantages. Comme celui d’être justifiée d’avoir une humeur plus à pic, disons-le poliment. Et de ne pas l’envoyer dire quand la coupe déborde. Et ça, bien que ça doit couler dans mes veines, grâce aux réparties assassines de mon cher père, qui n’avait pas que des amis, c’est tout à fait nouveau pour moi. Car voyez-vous, j’ai été bien élevée. Ce qui veut dire, en clair, pour une femme de mon âge : ne fais pas de vagues, même si les autres t’emmerdent royalement et n’ont rien à faire de tes histoires pourtant palpitantes, reste zen et tout sourire. Comme si, pour être appréciée, il fallait à tout prix faire la carpette et se fondre dans le décor. Ça peut faire un temps, j’en conviens et, surtout, ça sauve bien des malaises entre amis ou en famille. Mais bon, que voulez-vous, une fois les aléas installés (ah ah, elle a le dos large, la ménopause), ça sort tout seul. Et vlan! La revanche est douce au cœur de la sauvage qui a refoulé ses répliques cinglantes depuis des années pour ne pas avoir à courir chez la psy, comme sa grande amie après un souper bien arrosé où elle s’était enfin exprimée (un peu trop vivement).
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Bon, trois ans plus tard, le corps tient le coup. Fiou et refiou! Et je peux vous parler d’autre chose.
Encore à rebours… le grand défi
Vers la fin 2019, j’étais en quête d’un défi, de quelque chose qui demanderait une certaine préparation, des efforts, une discipline, de la persévérance. Bref, de quelque chose de tof. À la suite de l’invitation d’une collègue et après bien des hésitations car il me faut ménager la monture, je me suis donc inscrite, entraînant avec moi l’Amoureux-athlète qui en a vu d’autres, au marathon de Rimouski prévu le 13 septembre 2020. Édition du Pace du bonheur : faut quand même pas exagérer.
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